ANNe FOuBert 237 par exemple, l'essor des études d'impact ou le développement du « droit souple »113. Mais il serait bien curieux de penser que ce recours à la rationalité administrative puisse conduire à faire disparaître des phénomènes, fréquemment regardés comme des maux de notre droit, qui ne sont souvent que l'expression de cette rationalité. 113. C'est ce qui ressort de son étude annuelle de 2013 consacrée à cette question. Pour une approche plus conceptuelle du droit souple, v. W. Zagorski, Le contentieux des actes administratifs non décisoires, contribution à une typologie du droit souple, Mare & Martin, 2016.