Journal Le Marin - N°3172 - 25 avril 2008 - (Page 15)
LOMÉ SÉNÉGAL GAMBIE DOSSIER MALI NIGER BURKINA TOGO BÉNIN GUINÉE Marion Francoual SIERRA LEONE CÔTE D'IVOIRE GHANA LIBÉRIA NIGERIA CAM GUINÉE Lomé synthèse Le port peut grossir encore trafics Très peu d’exportations transit Des atouts à défendre pour faire face à la concurrence Côte d’Ivoire Les conséquences de la reprise agrandissement À chacun son projet servitude Toujours pas de changement Gato Un groupe polyvalent compagnies Maersk de plus en plus concurrencé manutention Trois vrais opérateurs réparation « On travaille comme des fous » pêche artisanale Une majorité d’étrangers exportations L’Europe bloque toujours 16 17 18 19 20 22 22 22 23 24 26 27 DES CAPACITÉS À EXPLOITER Les trafics du port de Lomé sont passés de 3 millions à 6,2 millions de tonnes entre 2001 et 2007. Pour surfer sur cette vague favorable, le port devra convaincre les pays enclavés de continuer à travailler avec lui car ces marchés sont aussi convoités par les nombreux ports voisins : Abidjan, Cotonou, Tema, Lagos La capitale du Togo devra aussi s’agrandir pour exploiter pleinement ses qualités naturelles et se positionner dans la sousrégion de l’Afrique de l’ouest en tant que port de transbordement. De nombreux projets sont sur le bureau du chef de l’État mais aucune décision n’a encore été prise. Enfin, Lomé compte sur son marché intérieur. Marché qui est aujourd’hui limité mais qui pourrait bientôt grossir si la levée de l’embargo financier permet, à l’industrie locale, de prendre un nouveau départ. Dossier réalisé par Marion FRANCOUAL Vendredi 25 avril 2008
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