Carnet d'entraînement - Droit constitutionnel - Les institutions de la Ve République - Licence 1 - 1re - 88

corrigés

15. 1. Mouvement républicain populaire ; 2. Parti communiste français ; 3. Parti radical ; 4. Section française de l'Internationale ouvrière ; 5. Rassemblement du peuple français ; 6. Union de défense des commerçants et artisans ; 7. Union démocratique et socialiste de la Résistance
16. Gauche : 2, 4 ; Centre : 3, 7 ; Droite : 1, 5, 6
17. 1) La Troisième Force ; 2) L'Indochine
18. La IVe République fait l'objet de nombreuses crises ministérielles et, plus largement, politiques. Le
mode de scrutin choisi pour élire les députés (scrutin proportionnel) crée une majorité mouvante, voire
instable, les partis ayant tendance à se regrouper en de fragiles coalitions. Face à cette assemblée aux
pouvoirs importants et à la composition peu cohérente, non seulement le Gouvernement ne dispose pas
de la marge de manœuvre nécessaire pour proposer de nouvelles réformes, mais en plus, il est aisément
renversé par les députés grâce à différents mécanismes (motion de censure, question de confiance, etc.).
L'instabilité gouvernementale chronique est aggravée par l'impossibilité de mettre en œuvre des révisions
constitutionnelles et par l'incapacité de l'exécutif à résoudre la crise algérienne.
19. démocratie - Monnet - Trente Glorieuses - Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) 1957 - traités de Rome
20. 3, 7 et 9
21. 2

Séquence 2
1. MOTS CROISÉS
1. Mollet
2. Conseil d'État
3. Dissolution
4. Pompidou

5. SFIO
6. Mitterrand
7. Référendum
8. Debré

9. Révision
10. Préambule
11. Vichy
12. Baden-Baden

2. A. 11 ; B. 13 ; C. 12 ; D. 8 ; E. 4 ; F. 9 ; G. 1 ; H. 2 ; I. 7 ; J. 10 ; K. 6 ; L. 5 ; M. 3
3. 1. Michel Debré ; 2. François Mitterrand
4. confusion des pouvoirs - l'Assemblée nationale constituante - le pouvoir exécutif - mandataire d'un parti chef de l'État - l'Union française - les Conseils du Gouvernement - contingences politiques
5. Une émeute soutenue par plusieurs officiers de l'armée se produit à Alger et aboutit la création d'un Comité de salut public. Il s'agit à l'origine d'une manifestation composée notamment d'anciens combattants
et de groupes patriotiques, partisans de l'Algérie française, destinée à protester contre la formation du
Gouvernement de Pierre Pflimlin. Les manifestants sont hostiles au Gouvernement, auquel ils reprochent
d'être favorables à une solution négociée avec le FLN. Ils déclenchent donc une insurrection visant à affaiblir le Gouvernement général. Parallèlement, les généraux Massu et Salan, piliers du mouvement, font
appel à Charles de Gaulle afin qu'il revienne au pouvoir, appel auquel finissent par se rallier de nombreuses
personnalités politiques. La crise aboutit à la démission de Pierre Pflimlin et à la désignation de Charles de
Gaulle en tant que président du Conseil.
6. 2
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