maximale de 3 mois renouvelable après un nouvel examen de la situation de la personne détenue » ; - lorsqu'il existe des raisons sérieuses de soupçonner l'introduction au sein de l'établissement pénitentiaire d'objets ou de substances interdits ou constituant une menace pour la sécurité des personnes ou des biens, le chef d'établissement peut également ordonner des fouilles à l'encontre, précise désormais l'alinéa 2, « de personnes détenues dans des lieux et pour une période de temps déterminés, indépendamment de leur personnalité ». La réforme de la justice décryptée