126 DICTIONNAIRE INSOLITE DU DROIT placerait l'enfant dans sa scolarité et plus tard au centre des remarques et des moqueries ; d'où la suppression du prénom choisi et comme les parents n'avaient pas choisi le prénom Emjy, l'enfant ne pouvait que porter les deux autres prénoms mentionnés dans l'acte d'état civil (Jean, Elihaou). Tout cela en attendant que l'on admette des prénoms ressemblant à des bas de tableaux d'oculiste. Les employés de mairie, comme tous les autres preneurs d'identité, n'y verront pas plus loin que le bout de leurs consonnes.