596 LA CONSTITUTIONNALISATION DU DROIT DU TRAVAIL § 1. L'intégration audacieuse du Préambule de 1946 dans le contrôle de constitutionnalité................................................................................ 29 A. La reconnaissance des principes particulièrement nécessaires à notre temps........................................................... 30 B. L'enrichissement prudent des droits consacrés par le Préambule de 1946........................................................... 34 § 2. La réserve dans la découverte de nouveaux principes constitutionnels sociaux........................................................................... 38 A. Le refus d'une interprétation extensive du Préambule de 1946........................................................................................... 38 1. Le cantonnement des principes particulièrement nécessaires à notre temps....................................................... 38 2. L'absence de principes fondamentaux reconnus par les lois de la République en droit du travail.................... 41 a) Le déclin des principes fondamentaux reconnus par les lois de la République............................................... 42 b) Le refus de qualifier le principe de faveur de principe fondamental reconnu par les lois de la République.............. 45 B. L'absence d'objectifs de valeur constitutionnelle en droit du travail.................................................................................... 51 Section 2. Le refus de se substituer au législateur........................................ 53 § 1. Une constitutionnalisation contenue à l'occasion du contrôle de l'intervention du législateur................................................................. 54 A. La relative liberté laissée au législateur par le Conseil constitutionnel........................................................................... 54 1. Le rôle du législateur à l'égard des droits et libertés constitutionnels...................................................................... 54 a) La mise en œuvre des droits-créances constitutionnels.... 54 b) Les garanties légales des exigences constitutionnelles.... 56 2. Le rôle du Conseil constitutionnel à l'égard du législateur..... 58 B. Les insuffisances du contrôle dénoncées par la doctrine....... 61 1. Une prudence acceptable................................................... 61 a) Le changement de perspective de la doctrine.................. 61 b) L'intérêt des décisions du Conseil constitutionnel en droit du travail............................................................... 63 2. Une esquive critiquable...................................................... 68 § 2. Une constitutionnalisation exigeant un contrôle accru de l'exercice par le législateur de sa compétence.......................................................... 70 A. Le dépassement par le législateur de sa compétence............. 70 1. Un contrôle léger de la compétence horizontale du législateur......................................................................... 71 2. Le contrôle de la compétence verticale du législateur........ 75 B. L'obligation faite au législateur de respecter pleinement sa compétence............................................................................ 78 1. La sanction de l'incompétence négative par délégation..... 78 978-2-275-08836-5__DOCFILE__9782275088365_corpus.indd 596 30-Mar-21 12:43:32 PM