Table des matières 501 Chapitre 2. Une confirmation opportune sur le plan procédural.................... 71 Section 1. L'assimilation du jugement d'extension à un jugement d'ouverture en droit interne......................................................................... 71 § 1. La volonté d'assimilation du jugement d'extension à un jugement d'ouverture.............................................................................................. 71 A. Les fondements de l'assimilation.......................................... 72 B. Les éléments de l'assimilation................................................ 73 1. Les éléments reconnus........................................................ 73 a) La reconnaissance de voies de recours similaires............ 73 b) La reconnaissance d'exigences de publicité similaires..... 75 c) La reconnaissance de la non-rétroactivité du jugement d'extension...................................................... 76 2. L'élément à reconnaître : une identité de computation des délais............................................................................... 81 § 2. Les limites de l'assimilation du jugement d'extension à un jugement d'ouverture.............................................................................................. 82 A. La dépendance des effets du jugement d'extension de la procédure collective pour confusion des patrimoines à l'égard des effets du jugement d'ouverture.............................. 83 1. Le maintien de la compétence du tribunal ayant ouvert la procédure collective dont l'extension est demandée........... 83 2. Le maintien de la loi applicable à la procédure collective dont l'extension est demandée............................................... 85 B. La spécificité des effets du jugement d'extension pour confusion des patrimoines................................................. 86 Section 2. L'assimilation du jugement d'extension à un jugement d'ouverture en droit européen..................................................................... 87 § 1. La règle de compétence du règlement européen................................. 90 A. L'énoncé de la règle.............................................................. 92 B. L'interprétation de la règle.................................................... 94 1. Les précisions apportées par la décision « Eurofood »....... 94 2. Les précisions apportées par la décision « Interedil »........ 97 § 2. La primauté de la règle de compétence du règlement européen.......... 98 A. L'apport de l'arrêt dit « SNC Rastelli Davide ».................... 100 1. La consécration de la primauté de la règle de compétence posée par le règlement européen................... 100 a) L'assimilation du jugement d'extension à un jugement d'ouverture................................................... 100 b) La détermination de la juridiction territorialement compétente......................................................................... 102 2. La détermination du centre des intérêts principaux en France sur la base du constat d'une situation de confusion des patrimoines................................................ 103 B. La portée de la solution l'arrêt dit « Rastelli »...................... 105 1. La réception de la solution par la doctrine........................ 105 a) Une solution aux conséquences critiquables................... 105 978-2-275-09058-0__DOCFILE__9782275090580.indd 501 16/12/2020 11:45:52