4 La confiscation des avoirs criminels s'arrêter là ! Au contraire ! Ils seront incapables de résister au désir de lire l'ensemble des contributions. Et ils ne le regretteront pas. Ma remarque sur la nécessité d'échanges tels que ceux que nous avons menés dépasse, bien entendu, le thème qui nous a réunis. Elle explique toute l'importance que j'attache à nourrir des relations fructueuses avec l'université et permet de mesurer la reconnaissance qui est la mienne à l'égard des organisateurs de ce colloque. Les deux premiers, les professeurs Pascal Beauvais et Raphaële Parizot, sont des habitués de la chambre criminelle et nous ne cessons de nous en réjouir. Le troisième, Lionel Ascensi, à la fois conseiller référendaire et universitaire, réunit sur sa tête les qualités qu'on attend respectivement de la doctrine et des praticiens. On aura compris que les remerciements que j'adresse à tous les trois ne sont pas de pure forme.