298 le droit international privé à l'épreuve de l'internet privilégiée par la jurisprudence avait été un échec relatif. Cependant, nous persistons à croire que ce dernier modèle de conciliation est le bon. Il est simplement mal exploité jusqu'à présent. Rien n'empêche de le perfectionner en ayant recours aux bons outils. Ce n'est pas le cas du premier modèle de conciliation, reposant sur l'usage exclusif de rattachement personnel, en raison des (trop) nombreux inconvénients qui l'affectent, ce que seule une analyse approfondie permet de révéler. 354. Plan. Ainsi, après avoir exposé les raisons qui justifient l'exclusion de ce premier modèle de conciliation (titre i), nous défendrons le second modèle, axé sur le maintien et l'ajustement des rattachements extrapersonnels dans le contexte de l'internet (titre ii).