Dauphinews - Le magazine de la #D-Family - N°2 - Mars 2020 - 39

université

Laurent Vais (19)

Une carrière
d'une autre dimension
Spécialisé dans la conception et la vente de solutions
logiciels, Laurent Vais (19) a passé une vingtaine d'années
en entreprise avant de retrouver les bancs de l'université.
"En 2017, je me suis aperçu qu'il me manquait des
compétences et connaissances importantes autour du
management, de la finance, de la comptabilité et de la
stratégie d'entreprise, pour être plus performant et plus
productif", se souvient-il. Il travaille alors pour Atos et se
tourne vers l'EMBA. "Je préférais avoir un enseignement
académique. J'ai aussi eu de bons retours de Dauphinois, qui
m'ont dit que c'était une université très professionnalisante.
Et j'en avais assez des formations courtes, je voulais des
cours approfondis, des travaux de groupe, dans le but que
ma carrière prenne une autre dimension", précise-t-il.
Résultat : en postulant chez Altran, grâce à ses cours, il
présente un plan stratégique et une étude de marché précis.
"Aujourd'hui, je suis directeur commercial, en charge d'une
équipe de neuf commerciaux", se réjouit l'alumni qui, en
parallèle de son métier, monte un business avec deux
camarades de l'EMBA. *

Nawal Moufarreh (20)

"L'EMBA m'a offert
une vision à 360° de
l'entreprise"
Doublement dauphinoise ! Diplômée d'un Master de
Management international de projet de Dauphine en 2008,
Nawal Moufarreh (20) enchaîne plusieurs postes de
responsabilité dans différents pays, avant de s'installer
au Maroc, où elle est directrice audit, contrôle interne et
risques pour une compagnie d'assurances. "J'ai eu envie
d'aller plus loin et de concrétiser cette expérience avec une
formation, pour changer de boîte, découvrir d'autres horizons
et retourner en France", explique-t-elle, décidant de revenir
vers son université. "J'étais satisfaite des opportunités qui se
sont ouvertes grâce à Dauphine. Et en termes de rapport
qualité/prix, cet EMBA me paraissait le plus réputé et le plus
accessible", estime-t-elle. Avant d'avoir achevé la formation,
elle a déjà changé de poste, pour l'opérateur de satellite
Eutelsat. "Le EMBA m'a aussi permis de négocier mon
nouveau poste et ma future carrière dans le groupe", lance
Nawal. De sa formation, elle retient les travaux en groupe,
"une vraie richesse" et les cours, lui ayant offert "une maturité
professionnelle et une vision à 360° de l'entreprise". *

Haroun Ghanem (15), Matthieu Valente (15), Sonia Falourd (15)

"Finalement, nous avons créé notre boîte !"
Avant l'EMBA, Haroun Ghanem (15) travaille pour Hub One, filiale d'Aéroports de Paris. Matthieu
Valente (15) est ingénieur chez Oracle. Les deux hommes se rencontrent lors de leur EMBA à
Dauphine, en 2012. "Nous avons travaillé ensemble sur un projet, mais à l'époque, nous avions la
volonté de progresser dans nos entreprises respectives. Finalement, nous avons créé une boîte
ensemble", se souvient Haroun. L'entreprise de Matthieu ne parvient pas à lui proposer un poste
correspondant à ses attentes. Et Haroun, même s'il devient directeur des opérations, rêve
d'entrepreneuriat. Avec Sonia Falourd (15), aussi rencontrée lors du EMBA, les diplômés se
revoient et évoquent l'idée de créer une start-up. Ce qu'ils font en 2016. Smart Hands-on et sa
plate-forme d'apprentissage par le jeu ont bientôt quatre ans et comptent plus de 15 000
utilisateurs. Et si la boîte se porte bien, c'est aussi grâce à l'EMBA : "Trois d'entre nous sont des
anciens de la formation, ça compte !" conclut Matthieu, ravi de cette aventure entrepreneuriale
qui n'aurait jamais commencé sans ce retour à l'université. *

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