Dauphinews - Le magazine de la #D-Family - N°5 - Juillet 2021 - 6

HISTOIRES COURTES
Classements
Parmi les classements
De Dauphine à la course au large
Enfant, il était fasciné par les courses de bateaux. " Comme tout ado qui suit son sport favori !
Mais je pensais que c'était inaccessible " , se souvient Jean Marre (17), qui se tourne vers
un parcours plus classique, en suivant notamment le Master Entrepreneuriat de Dauphine.
Le cursus lui donne des ailes : " Je me suis rendu compte que je pouvais faire de la voile mon
métier, avec la folie de l'aventurier et la méthode de l'entrepreneur. "
Après une première expérience professionnelle, Jean se lance, bâtit son projet et part à la
recherche de partenaires pour financer sa route. Il se prépare aujourd'hui pour partir à l'assaut
de la Mini-Transat en septembre, une course à travers l'Atlantique sans communication aucune
ni assistance. Notre navigateur dauphinois devra rejoindre les Canaries, puis la Guadeloupe en
30 jours de navigation, seul à bord. L'étape suivante sera de poursuivre cette aventure, comme
il l'explique avec enthousiasme : " Je veux laisser mon costume-cravate pour devenir marin
définitivement et me laisser rêver à d'autres grandes courses au large. " *
mondiaux particulièrement
regardés figure celui du
Center for World University
Rankings (CWUR).
Né dix ans après le premier
classement de Shanghai,
il classe 2 000 tablissements
selon quatre facteurs :
la qualité de l'enseignement
(25 %), le taux d'emploi des
diplômés (25 %), la qualité
du corps professoral (10 %)
et la performance de la
recherche (40 %). Cette
année, Dauphine se classe
avec Paris Sciences et
Lettres (PSL) 21e
meilleure
université au monde et
4e
au niveau européen.
Un très bon score, conforté
cette année par le
Quacquarelli Symonds, autre
référence internationale,
qui classe PSL 44re
mondiale
et 1re française. Enfin, PSL est
classée 1re université des
milléniaux et 4re université
des Young Universities selon
le classement publié par le
Times Higher Education. *
Toujours positive
Lors du confinement, face à la détresse étudiante, Sakina Boukajouj (21) n'a pas envie de rester
les bras croisés et cherche une réponse positive à apporter. Elle commence par réaliser des vidéos
pour motiver ses camarades, puis déniche des professeurs et coachs pour booster les troupes :
" Avec eux, nous avons tenu des conférences sur l'optimisme et des masterclass qui nous ont bien
redonné la pêche " , se souvient-elle. L'initiative se structure en une association,
Étudiants Positifs, qui profite du nouveau réseau social vocal Clubhouse pour
changer et donner de la voix aux étudiants. D'autres idées fusent. Parmi elles :
une discussion " un recruteur, un recruté " , créant un lien entre étudiants et
entreprises. Prochaine étape pour Sakina, lorsqu'elle aura fini ses études : créer
sa propre agence de conseil en lancement d'affaires. Toujours avec le sourire ! *
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Numéro 05 // juillet 2021
DR
© Lou-Kévin Roquais

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