404 LA PRÉVENTION DES DIFFICULTÉS DES ENTREPRISES 2. Divergences dans le choix des agents chargés de la mise en œuvre de l'alerte ............................................................... a) L'alerte du comité d'entreprise ou des délégués du personnel....................................................................... a-1) L'intérêt du droit d'alerte du comité d'entreprise .... a-2) Le déroulement de la procédure d'alerte du comité d'entreprise ................................................... b) L'alerte des présidents des tribunaux ............................. c) L'alerte des groupements de prévention agréée ............... Paragraphe II : Les difficultés de mise en œuvre des techniques d'alerte ..... A. L'incertitude quant au moment de déclenchement de l'alerte du commissaire aux comptes .................................... B. Le risque d'abus dans le déclenchement de l'alerte : l'exemple de l'alerte du comité d'entreprise de droit français ... Section II. L'absence d'effet véritable des techniques de prévention détection ..................................................................................................... Paragraphe I : Le caractère inefficace de l'alerte du commissaire aux comptes ........................................................................................... A. La réticence des commissaires aux comptes dans le déclenchement de l'alerte ...................................................... B. Les résultats décevants de l'alerte du commissaire aux comptes .............................................................................. 53 53 53 54 56 61 63 64 65 67 68 68 69 Paragraphe II : Les faiblesses des autres mécanismes d'alerte ................ A. De simples mesures d'information non assorties de sanctions .............................................................................. 1. Le problème de la reconnaissance du droit d'alerte au comité d'entreprise........................................................... 2. Le caractère limité des sources d'information du débiteur OHADA ............................................................ B. Des procédures essentiellement centrées sur l'alerte du commissaire aux comptes .................................................... 1. La portée limitée du droit d'alerte du président du tribunal ............................................................................ 2. L'absence d'un véritable droit d'alerte au profit des associés ........................................................................... 3. L'incertitude quant au devenir des groupements de prévention agréée ............................................................. 71 Chapitre II. La détection par l'information comptable et bancaire ............... 85 Section I. L'obligation faite aux entreprises de détenir des comptes .......... 85 Paragraphe I : L'effectivité de l'obligation comptable ............................. A. Le non-dépôt des comptes auprès des tribunaux de commerce ............................................................................. a) L'établissement des documents comptables .................... b) La vérification des comptes ........................................... 85 72 72 75 76 76 79 83 85 86 91